Système qualité Arches

L'Ecole digitale

Enseigner à distance

Les techniques progressent vite et sont accessibles. Preuve en est qu'un pays comme la Suisse s'est mis à enseigner à distance en l'espace d'une petite semaine lors de la fermeture des écoles pour cause de coronavirus. Certes, la technique est complexe : selon la nature de la communication entre le professeur et sa classe, il est préférable pour le professeur d'être vu ou au contraire de s'effacer derrière des informations fluides. Des fichiers doivent circuler mais leur lecture peut rompre le rythme du cours en créant une concurrence entre l'attention portée au professeur et celle requise par la lecture. Certains élèves sont contents d'être vus et d'autres de rester derrière un écran opaque. Les activités nécessitant des inputs complexes et nombreux avancent plus lentement. La communication est plus verticale, avec le professeur, qu'horizontale entre élèves. L'univers de vision d'une grande salle est rétréci aux quelques décimètres carré d'un écran. Le message sonore et le message visuel doivent être parfaitement coordonnés. Néanmoins, à chaque enjeu ses solutions et la multiplicité des logiciels de consultation permet d'apporter des solutions correctes à presque tout.

Apprendre seul

Graal de toutes les formations pré-universitaires, l'établissement chez l'élève d'une capacité à travailler seul et à maîtriser la construction de ses représentations sans échanger avec un professeur est un but de haute priorité. C'est le but que l'Ecole des Arches place le plus haut dans les savoir-faire à transmettre auprès de ses étudiants. A de rares exceptions près, ce savoir-faire n'est que peu opérationnel en début de gymnase. On peut donc conclure que l'une des missions majeures du gymnase est de développer cette compétence. Il n'est probablement pas aisé à des plus jeunes de progresser dans cette voie, par exemple durant la scolarité obligatoire. Il y faut un sens de ce que l'on souhaite accomplir et une solide expérience, basée sur un regard autorisant l'auto-évaluation continue pour y parvenir. Ce sont des ressources rares à 15 ans.

Cela dit, s'il est indispensable d'apprendre à apprendre seul, il n'est probablement pas souhaitable de continuer à apprendre tout seul une fois que l'exercice est maîtrisé. L'Ecole doit donc aussi entraîner la faculté à travailler avec les autres, ce qui est largement la norme dans le milieu de travail.

Apprendre à distance

Apprendre en groupe est plus accessible que d'apprendre seul, et si le contraire était vrai on verrait les écoles rencontrer du succès en mettant leurs étudiants en auto-apprentissage à distance, activité principalement menée en isolement relatif. L'expérience de l'enseignement à distance forcé au printemps 2020 a montré qu'une part importante des élèves ont mal supporté leur solitude. Certes ils suivaient un programme normal en contact (distant) avec les professeurs et les autres élèves de leur école, mais les abandons et quasi-abandons furent notablement plus élevés qu'en période présentielle. L'humain est un animal sociable par essence, il a fallu s'en rappeler. En d'autres termes, même avec la meilleure des techniques, l'enseignement 100% distant ne convient qu'à certains. C'est le constat qu'a fait l'Ecole des Arches, qui a mené depuis 1995 diverses activités d'enseignement programmé, semi-programmé ou 'blended', et distant au sein de sa section informatique.

Et l'Ecole digitale ?

Est-ce que cela doit dissuader de développer une école digitale, mettant le meilleur de l'intelligence informatique au service des apprenants ? Non, bien sûr, pour autant que l'on respecte des alternances de modes. On peut faire face à son ordinateur quelques dizaines de minutes avec profit si l'activité menée est clairement canalisée, progressive, auto-évaluable périodiquement, correctement équilibrée entre découvertes stimulantes, mise au point, remémoration. au-delà, l'échange avec un professeur et des élèves est nécessaire pour des phases moins construites et plus ouvertes. L'Ecole des Arches a identifié un petit nombre d'activités très typées que l'on gagne à mener seul à seul avec un ordinateur. Avec le temps, d'autres viendront à n'en pas douter mais sans devenir omniprésentes. Au-delà de la possibilité d'apprendre, l'ordinateur apporte bien plus aisément un service important : l'accès structuré à l'information liée à un cours, déployée intelligemment, complète, hiérarchique dans la profondeur et le temps.

Aide aux élèves

Les difficultés que peut rencontrer un élève sont d'une variété, d'une intensité et d'une imprévisibilité que seuls les enseignants entraînés ne sous-estiment pas. C'est l'une des difficultés du cours collectif : même en étant très méticuleux dans sa planification, un professeur fait toujours face à plusieurs élèves dont chacun est le reflet de paramètres momentanés ou plus ancrés assez nombreux pour défier toute stratégie fiable.

D'un autre côté, la bonne volonté des élèves est souvent mal comprise car elle est plus facilement interprétée sur la base de leurs succès plus que de leurs efforts. Il peut en résulter des situations très pénibles pour les élèves, et que des adultes plus expérimentés auraient de la peine à supporter.

En résumé, il faut que l'école propose des mécanismes de réparation. C'est l'une des priorités de l'Ecole des Arches. Sa stratégie est de proposer des interlocuteurs multiples et des méthodes de réparation multiples. Elle consiste aussi à encourager l'élève lorsqu'il est à la frontière de ses capacités, afin qu'il expérimente le plaisir de les transformer.

Les études thématiques

Une fois par semaine, dans chaque branche principale ou critique, une période d'étude est proposée. C'est un enseignant de la branche qui la tient, avec mission d'aider les élèves à mener leurs travaux personnels. Un élève qui "n'y arrive pas tout seul à la maison" aura intérêt à suivre ces études non obligatoires dans au moins une ou deux branches. D'autres, qui sont dépassés, peuvent être fermement invités par l'un de leurs professeurs à y assister sans faute chaque semaine.

Les entretiens en cas de détresse

Avec un professeur, un responsable de classe, un doyen ou directeur, il ne faut pas hésiter à demander à demander un entretien si les choses vont mal. Nous sommes là pour cela. Ensuite des mesures peuvent être prises en fonction du problème identifié, en principe par le chef de classe.

La diversité des interlocuteurs a pour intérêt d'éviter les blocages de communication. L'école dispose également des services d'une conseillère pédagogique, psychologue entraînée à mener un dialogue dans le but d'identifier des problématiques plus complexes. Elle est à même également de proposer des solutions, internes ou externes, en fonction d'obstacles non nécessairement scolaires au sens strict : difficultés de concentration, d'écriture, de mémorisation, de stratégie d'apprentissage, de relation...

Orientation 

La même personne est également spécialisée - ainsi que d'autres collègues - dans le conseil en matière d'orientation pour les élèves ayant terminé leurs cours, ainsi que pour les démarches d'inscription à diverses institution formatrices que nos élèves souhaiteraient rejoindre ensuite. Par exemple pour aider à s'inscrire dans une université anglo-saxonne, dont le processus de recrutement est notablement plus complexe que celui des universités suisses.

Les appuis individuels

Sous forme de coaching à but principalement organisationnel ou méthodologique, sous forme de cours donnés par des pairs (élèves plus avancés) dont le mode de communication est parfois plus directement utilisable que celui du professeur de l'avis des élèves, qui compte, sous forme encore de cours d'appui individuel ou en très petit groupe avec un professeur, la palette des aides directes est large. Ces appuis font partie des services de l'école, qui ne les facture pas aux parents. Mais un élève qui en profite devra fournir un travail personnel substantiel pour que ces appuis donnent les résultats espérés. Pas de travail personnel, plus d'appui. Les parents sont informés du début et de la clôture de ces appuis.

Finalement, notre politique est claire. Notre voeu à travers ce dispositif est qu'un élève qui fait des efforts ne reste jamais incompris.

Séminaires pédagogiques

Vues de l'extérieur, les activités pédagogiques d'une école sont souvent vues par les familles et les élèves comme des boîtes noires. Il n'y a pas de raison, tout le monde peut en découvrir les objectifs :

Un projet pédagogique pour chaque année

Le premier objectif est de mettre en oeuvre la politique annuelle établie par les professeurs au terme de l'année précédente. Les séminaires prennent alors deux formes : des réunions ouvertes à toutes et tous et visant une information sur les thèmes de cette politique, ainsi que leur discussion. Mais l'application se fait au sein de groupes de travail spécialisés qui approfondissent, recherchent des outils, testent et mesurent leurs résultats.

Une réflexion permanente sur nos bases de réflexion

Il existe aussi un travail plus approfondi sur notre référentiel : une fois écrit, ce référentiel doit-il évoluer, être amélioré ? Dans cette activité le recours aux théories éducatives et d'enseignement est une source, les impressions des uns et des autres dans leur pratique quotidienne constituent l'autre pôle.

Les classes sont des êtres vivants

La vie des classes peut exiger des réunions spécifiques à une situation. Certaines classes ne vont pas bien, au moins momentanément. Les impressions de chaque professeur sont nécessaires pour comprendre et proposer des actions pour remettre ces classes en vie.

Chaque classe a en effet ses élèves particuliers et uniques, qui demandent des décisions périodiques. Ce sont les chefs de classe qui sont alors réunis et échangent leurs conseils sur le meilleur chemin pour aider un élève ou le conseiller.

Certaines branches présentent des problématiques occasionnelles ou récurrentes : par exemple un changement de programme, ou une difficulté sur laquelle un professeur souhaite apporter ses réflexions ou entendre les conseils des autres, comme par exemple les difficultés à gérer les bases de l'algèbre. Le chef de file suit un programme annuel et le travaille avec ses collègues.

Enfin, certaines formations exigent statutairement une réflexion sur différents volets du travail d'enseignement, chaque année, selon un plan d'ensemble. Il faut alors retravailler sur la coordination des examens, sur les méthodes de travail, sur la dimension de développement personnel des élèves au regard de chaque matière...

Globalement ces activités amènent à publier un calendrier semestriel des activités afin de les disposer au mieux durant l'année. Ces séminaires occupent se tiennent deux semaines sur trois en moyenne.

Historique

Historique de l'Ecole

D'où venons-nous ? Des éléments de réponse, année après année depuis la fondation de l'Ecole des Arches puis de l'Association Arches.cadran solaire new

Brève histoire

L'Ecole des Arches a été créée en 1985 par 8 professeurs, une personne pour l'administration et 7 élèves. Car sans les élèves il n'y aurait pas eu d'école... Mais auparavant, il y a eu un chemin :

   

1980   Projet de créer une école, encore mal défini.
1984 Février Recherche d'un lieu d'établissement à Neuchâtel et à Genève, hésitations, abandon. 
1985   Décision de la créer.
  Mars Rédaction des objectifs pédagogiques et humains de l'école.
  Avril Rédaction des statuts internes.
  Mai Le 15, premier bail provisoire à l'Avenue Beau-Séjour 15.
  Juin Co-fondation de l'Ecole par Christian Hofer, trois de ses anciens élèves universitaires et deux autres enseignants. Premiers clients répondant à la publicité mise dans les journaux. A la fin du mois, neuf personnes ou familles ont demandé de la documentation : trois clients potentiels, trois enseignants d'autres écoles (publiques) qui souhaitaient témoigner leurs encouragements pour l'initiative que représentait l'Ecole des Arches, enfin trois directeurs d'écoles privées concurrentes.
  Juillet Inscription au registre du commerce. Premières visites concrètes de clients potentiels et premier cours d'informatique. Première recette aussi, à savoir un billet de 1'000 francs, reçu avec une émotion très profonde.
  Août Signature le 31 d'un bail important (Valentin 10, deuxième étage) sous l'effet d'une persévérance que le recul ne permet plus très bien de justifier. Il n'y a alors qu'une seule inscription en classe de maturité, à 15 jours de la rentrée. Le minimum était fixé à 8 élèves.
  Septembre Le 12, le miracle a eu lieu. La sixième inscription vient de rentrer. Il est décidé de poursuivre même en dessous du minimum fixé. Le 15 septembre 1985 à 8 heures 15 : l'Ecole des Arches existe. Elle accueille avec émotion ses six premiers élèves. Huit professeurs et une secrétaire les entourent de leur attention.

 

  H O M M A G E   A U X   F O N D A T E U R S

Corps enseignant et administratif : Christiane Aubert (mathématiques et psychologie), Sabine Drusi (administration), Jean Duperrex (biologie), Catherine Flückiger (lettres), Christian Hofer (mathématiques), Hélène Hrkalovic (sciences politiques), Alain Kaufmann (biologie et sociologie), Pierre-André Rion (philosophie), Paolo Rota (lettres).

Elèves et familles : Benjamin Veillon, Jean-Christophe Matter, Adrien Bassetti, Nathalie Schlegel, Eric Grosjean et leurs parents. Olivier Dessimoz, Raphaël Hugentobler.

La période des débutants

L'évolution de l'Ecole des Arches a suivi la courbe ascensionnelle d'une entreprise minuscule créée sans savoir-faire de gestion. Elle a été marquée par diverses phases de structuration progressive. Les cinq premières années n'ont pas suffi pour lui permettre d'atteindre le seuil de 50 élèves à plein temps, quoique la population en cours du soir ait été encourageante dès le début. Le souci numéro un durant cette phase était de croître. Dès ces premières années l'école a travaillé à la fois pour préparer des élèves à la maturité et à des certifications informatiques. Mais le CFC n'existe pas encore...

Croissance timide

Plusieurs changements importants par contre se concrétisent durant les cinq années suivantes : la fonction de support s'étoffe, avec une seconde personne administrative et un technicien informatique; l'effectif monte à presque 100 élèves et permet des finances plus saines, quoique en mesure assez limitée. La dimension de famille s'estompe un peu, il faut le reconnaître; mais cela ne sera pas à cause de l'adoption du concept de système qualité fait son entrée dans les usages de l'école, avant de permettre quelques années plus tard une première certification longuement préparée. La forme juridique change et passe de société de personnes à la forme associative, plus compatible avec les objectifs de l'école. Enfin, l'école déménage pour la troisième fois et s'installe dans des locaux plus modernes et confortables. L'école est toujours petite et soucieuse de reconnaissance externe.

Se faire reconnaître

Les années 1995-1999 représentent une forme d'aboutissement : certification ISO-9001 (seconde école de Suisse), première formation officielle (CFC d'informaticien, première formation privée en Suisse de ce type), première entreprise d'entraînement en informatique de Suisse... C'est aussi une période où les collaborations avec d'autres écoles sont en place et fructueuses, en particulier avec l'Ecole du Valentin et l'Ecole Steiner qui apporte aux Arches une grande partie de nos meilleurs élèves.

Reconnaître ses limites

Au faîte de ses effectifs durant la période 2000-2005, l'école atteint presque 200 élèves à plein temps, dont un assez grand nombre avec le concours du Service de l'Emploi vaudois. Avec cette forte croissance vient aussi la nécessité de resserrer les boulons dans le domaine de la planification financière, d'autant que le changement de politique de la Confédération en matière de formation informatique fait perdre en 2005 tout un pan des formations financées par les caisses de chômage, brutalement. Simultanément, la gouvernance de l'Ecole est pour la première fois remaniée par une personne autre que le directeur et la place des responsables de formation grandit, avec la nécessité de revoir le processus de prise de décision. Il faut l'admettre, le manque de formation en management du directeur ralentit l'évolution de l'école sur ce plan. C'est aussi la première fois que l'Ecole est mise en cause par un expert externe pour la faiblesse de sa vision pédagogique : même si tous les professeurs sont bons, une formation (informatique en l'occurrence, pour des jeunes personnes en transition professionnelle) peut ne pas être solide parce qu'on n'a pas assez mesuré la difficulté globale de la tâche pour les participants. C'est un premier choc. C'est aussi à ce moment-là que les premiers outils informatiques systématiques sont mis en place : distribution des documents de cours sur le réseau interne, utilisation d'un ordinateur personnel portable pour tous les cours en ce qui concerne les informaticiens. En résumé, ces cinq années ont peut-être plus été marquantes sur le plan de l'évolution des structures internes que de la croissance, qui connaît un point d'arrêt.

La longue marche

Vient une période première période difficile sur le plan financier, suite au choc mentionné en 2005. La magie des cours de l'Ecole, qui a permis à tant d'élèves de réussir assez bien grâce à notre profil d'école à petits effectifs proche de l'évolution de ses élèves, et à une confiance des enseignants inspirée de notre enthousiasme, connaît une remise en question progressive. Son nom : la maturité suisse, nouvelle mouture de l'examen de maturité fédérale, marquée par une volonté d'augmenter les exigences imposées aux élèves, progressivement. Le choc n'étant pas clairement annoncé, il faut 3 ans pour réaliser que le monde a changé et que des élèves honnêtes et travailleurs pourraient bien ne pas réussir, contrairement aux années précédentes. Certains d'ailleurs abandonnent en raison de l'écart entre le travail fourni et la modicité des résultats. L'école n'est plus un lieu où l'on encourage des élèves de toutes sortes vers un monde où presque tous réussissent, mais devient un lieu de transformation bien plus exigeant. Portée par des responsables de formation enthousiastes et dynamiques, l'Ecole cherche des solutions pour ce défi de taille. Bien plus tôt que d'autres, sa principale section étant la préparation à la maturité suisse et cela sans le segment précédent (niveau du collège), elle vit ce combat et teste ses idées. Pour autant, ses effectifs dans la section maturité continuent de croître car la perception de ce changement n'est pas encore forte dans les familles.

Créer c'est vivre

Durant la période 2010-2014, cette perception externe s'affirme cependant. Par suite, d'un côté l'école vit des moments où les erreurs budgétaires pourraient ne pas pardonner (mais il n'y en n'aura pas...), d'autre part elle vit une effervescence créative pour surmonter cette situation. Elle investit en continu. Elle crée une nouvelle activité en moyenne tous les deux ans, chaque fois avec succès. L'étape la plus marquante est la préparation de l'école en tant que membre du monde du Baccalauréat International, ce 'monde' apportant avec lui un savoir faire essentiel en matière de gestion pédagogique. Parallèlement, l'Ecole surmonte en partie un autre écueil délicat, celui de la mise en place de la succession du directeur fondateur. Non qu'il s'en aille immédiatement, il lui reste quelques années avant de partir à la retraite. Mais une telle transition se prépare et 2014 fut un moment où la forme de cette transition a été choisie. Suivra juste après la transformation de la forme juridique de l'entreprise pour assurer cette transmission.

Place à la transition active

En juillet 2015 l'Association devient une SA, mais une SA un peu particulière : ses enseignants détiendront la totalité des voix, en distinguant cependant une participation large pour des décisions ordinaires et une participation restreinte en cas de menace financière notable. Le quinquennat actuel voit pour la première fois s'affirmer une réflexion pédagogique soutenue et collective, en même temps que l'affirmation d'un credo pédagogique. c'est le résultat des épreuves vécues auparavant. Les structures classiques de la nouvelle société anonyme ont également apporté une gouvernance plus claire et dynamique, qui profite également à cette réflexion pédagogique qu'elle guide.

Cela se passe à l'Ecole des Arches

La vie d’une école est en partie celle de ses élèves, mais aussi celle des professeurs et de l’entreprise, donc principalement la vie pédagogique. La présente page distingue ces deux dimensions. Dans chaque cas un menu direct permet de sauter rapidement à l’endroit de votre intérêt.

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